Selon les estimations des filières et des instituts techniques, la valorisation en France des graisses animales permettrait d’éviter de rejeter des centaines de tonnes d’équivalent CO2et d’économiser des millions d’euros pour les fabricants d’aliments. Mais la profession est toujours réticente à les utiliser, engluée dans les souvenirs de la vache folle et les
…
Cet article est réservé aux membres connectés.
Vous devez être connecté pour accéder à ce contenu.