Hormis Brest, emporté par son usine de trituration, tous les ports français impliqués dans les flux liés à l’industrie de l’alimentation animale voient leurs trafics baisser. Une situation qui traduit la crise mondiale du transport maritime : le nombre de navires empruntant le rail montant de la Manche a baissé de 4,8 % en 2009.
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