EuroTier : la France à l’honneur

Du 15 au 18 novembre à Hanovre, en Allemagne, les acteurs internationaux de la filière élevage pourront de nouveau sillonner les 240 000 m² du salon EuroTier, à la rencontre de plus de 1 700 exposants. Un pavillon sera dédié aux entreprises françaises, dans les halls 11, 17 et 20.

La dernière édition du salon EuroTier au parc des expositions d’Hanovre remonte à 2018.
© EuroTier

EuroTier, rendez-vous international incontournable pour les professionnels des productions animales (porcs, bovins, ovins, volailles, poissons, etc.), revient à Hanovre du 15 au 18 novembre. Il s’articulera cette année autour du thème directeur : transformer l’élevage. « Partout dans le monde, y compris en Europe, les chaînes de production et de valeur ainsi que les exigences (sociétales, environnementales) évoluent dans le milieu de l’élevage. Il est important aujourd’hui que les exploitants agricoles et les entreprises du secteur agroalimentaire façonnent ensemble activement l’avenir. C’est là qu’EuroTier, en qualité de plateforme internationale, intervient et propose des innovations et des solutions techniques aux défis actuels et futurs », indiquent les organisateurs.

« À l’écoute de l’actualité », i l mettra des coups de projecteur sur le bien-être animal, la transition énergétique, la biodiversité mais aussi l’alimentation animale. Dans le Hall 21, les entreprises du secteur « présenteront leurs solutions et discuteront de nouveaux procédés pour une alimentation innovante ». Le salon permettra aussi d’aborder la sécurité alimentaire et la problématique actuelle des approvisionnements, qui met les fabricants et les éleveurs sous pression. « L’industrie de l’alimentation animale discutera des sources alternatives pour remplacer les céréales, le colza, le soja ainsi que le tournesol en provenance d’Ukraine. » De même, l’Ukraine ne pourra pas jouer son rôle d’important fournisseur de matières premières sans OGM. « Cela signifie que des sources alternatives doivent être sécurisées. » (…)

Ermeline Mouraud

Article à lire en intégralité dans le numéro 760.

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